Advanced searchSimple searchStart new search Home page  

   
Title :
Composers and/or lyricists :
Performers :
Content type :
Recording year :
Instruments :
Manufacturer, label :
Format :
   
Back to search results page

190 results found

Précédent 1 48 51 101 151 190 Suite droite

 
Title :Les Cloches de Corneville ; chanson des cloches : nous avons hélas perdu d'excellents maîtres
Composers and/or lyricists :Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles
Performers :Boyer, Mary
Content type :Opéra-comique
Audio file :
Recording medium :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Recording location :Paris, France
Manufacturer, label :Pathé
Catalogue number :1574
Matrix number :1878
Instruments :piano acc.
Color of the material :noir moulé
Condition :Tbon, un peu moisi, monté
Speed (rpm) :160
Tools used for data transfer :Archéophone
Transfer date :2005-03-11
Comments :Texte du contenu ci-dessous. Mary Boyer chante ici en anonyme.
Text or lyrics :Les cloches de Corneville ; nous avons hélas perdu d'excellents maîtres (chanson des cloches)

Création : Conchita Gélabert (1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Paroles : Louis Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette


Mary Boyer ?

Nous avons, hélas, perdu d'excellents maîtres
Et les revenants qui troublent notre esprit
De nos bons seigneurs sont les nobles ancêtres
Qui dans le château ressuscitent la nuit
Ils voudraient revoir leurs héritiers peut-être
Et quand de l'exil nos maîtres reviendront
Par un revenant de garde à la fenêtre
On dit qu'à l'instant les cloches sonneront
On dit qu'à l'instant les cloches sonneront

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne donc, joyeux carillon

Il ne sonnait pas aux jours de nos défaites
Il ne sonnait pas dans les temps malheureux
Mais comme il sonnait aux jours de grandes fêtes
Ou quand s'unissaient deux jeunes amoureux !
Depuis qu'il se tait, la ville est moins joyeuse
Depuis qu'il se tait s'éloignent les amours
Ce château nous cause une frayeur affreuse
Et voilà pourquoi nous répétons toujours
Et voilà pourquoi nous répétons toujours :

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon


No other audio transfer of the document, nor flip side

Permalink : http://www.phonobase.org/3026.html

  Advanced searchSimple searchStart new search Home page